Il faisait bon dans cette okiya, peut être même un peu trop chaud mais je préférais penser que la chaleur des corps y était pour beaucoup. Ils devaient pourtant faire du zèle pour que l'on reste un peu plus, après tout il ne faisait pas si chaud que ça dehors.

Un verre de whisky en main, je zieutais l'horloge face à moi d'un air pensif, attendant patiemment la venue de Samuel bien que la patience n'était en rien une de mes vertus premières. Tant pis, il allait prendre aussi cher que d'habitude pour ne pas changer. Je le soupçonnais fortement de me faire attendre exprès depuis le temps, mais j'aurais été bien bête de lui en tenir rigueur. Après tout le sexe n'en était que meilleur et même si le titre de geisha était gravé sur sa peau, il n'était pour moi pas meilleur qu'une vulgaire pute. Les vêtements que je lui ôtais toujours avec le même empressement ne cachaient plus vraiment l'affamé de sexe qu'il était. Qu'est ce qu'il n'était pas prêt à faire celui là pour qu'on le culbute dans des draps en soie ?

« Bon c'est pour aujourd'hui ou pour demain ? » Marmonnant dans ma barbe, je jouais avec mon verre afin d'entendre les glaçons tinter et pour ne pas devenir fou, je buvais le tout cul sec et sortais de mon sac un carnet à croquis histoire de m'avancer un peu dans mon travail. Cette semaine j'avais une commande toute particulière à honorer. Un tatouage qui représentait la fidélité. Je me souvenais d'ailleurs de la tête de mon client lorsqu'il m'avait avoué les joues rouges combien il était impatient de le montrer à son compagnon. Personnellement, je ne m'étais pas gêné pour lui faire comprendre à quel point c'était risqué de  faire tatouer à vie quelque chose qui n'existait pas. La fidélité ? Mais quel grand naïf..

Un rendez vous, ce soir. Un seul & unique rendez vous, mon dernier de la journée, aussi. Mais c'était le seul ce soir, les autres étaient passés en fin d'après midi et là, il me restait un seul et unique client : Jo Min Guk et je m'amusais à le laisser mijoter un peu. J'aimais bien l'idée qu'il devait m'attendre. De plus, ça ne rendait nos ébats que beaucoup plus exceptionnels, et autant dire que.. j'adorais ça, mais à un point que je n'osais pas imaginer. J'étais vraiment accroc au sexe, et plus j'y pensais, plus je me rendais compte que c'était vrai, c'était fou tout de même.

Je jetais une dernière fois un regard dans le miroir de ma chambre, et replaçais mes mèches claires correctement. Je tirais un peu sur le col de mon kimono en soie noire qui mettait particulièrement bien en valeur mon corps, ses légères formes et la grâce qui s'en dégageait. Je serrais une nouvelle fois mon obi blanc et finit par me lever de mon coussin pour ouvrir la porte de ma chambre. Je me renseignais auprès des quelques geisha présentes où il se trouvait et me dirigeais vers la pièce où en effet, il se trouvait, un verre à la main. J'ouvrais très lentement la porte pour ne pas faire de bruits, et grâce aux bruits à l'extérieure de la pièce, je réussis à me glisser dans son dos sans faire un seul son. Je glissais lentement mes mains sur son torse couvert tout en m'asseyant dans son dos, et laissais mes lèvres se poser sur son oreille. Bonsoir.. Je ne vous ai pas trop fait attendre, j'espère..

Sans même me rendre compte du temps qui passait, sans me soucier non plus de ce qui se passait autour de moi comme à chaque fois que je commençais à dessiner, j'appuyais mes traits de crayon dans un nouvel élan d'inspiration. Je pensais d'ailleurs déjà à modifier quelques petites choses pour rendre mon travail encore meilleur que ce qu'on attendait de lui. Personnellement, j'aurais bien été tenté d'ajouter quelque chose de subtile afin de reconnaître là mon travail mais perdant le fil alors qu'on murmurait à mon oreille, je serrais plus fort mon crayon. "Bonsoir.. Je ne vous ai pas trop fait attendre, j'espère.."  Un soupire, un petit rire discret et je refermais mon carnet en me redressant sèchement pour le ranger dans mon sac en ignorant la putain derrière moi. Je ne savais pas bien traiter les gens et il n'était en rien une exception aussi bon au lit qu'il était.Le jeu commençait maintenant. «Apparemment on vous apprend pas la ponctualité ici, ça mériterait un geste commercial ça .. »Amusé par le ton que j'adoptais, j'allais me resservir en whisky levant mon verre à sa santé. « Au moins l'alcool ici est bon, c'est déjà un bon point ! Je penserais à le noter au dos du chèque que je laisserais en partant. Bon alors, je pense qu'on peut mettre de côté les formes et aller directement dans le vif du sujet.. »Pointant le jeune homme du doigt, je le dévorais des yeux d'un air fier en buvant une gorgée. « Désape toi et met toi à genoux.. »

Je le sentais tendu, bizarrement. Peut-être était-il énervé? Moh, c'était possible, mais je n'aimais pas ça. Enfin, si, j'aimais ça car je savais que par la suite, il me ferrait littéralement grimper aux rideaux, qu'il me prendrait assez violemment pour que je prenne bien mon pieds, et je n'attendais que ça de lui : prendre mon pied en toute impunité. Je restais contre son oreille, mes doigts s'amusant sur ses vêtements que je trouvais de trop. Oh si.. On nous apprend à être ponctuel.. Je trouve juste que lorsque vous êtes légèrement énervé, vous êtes meilleurs, au lit. Un léger rire s'évapora de mes lèvres alors que je me reculais légèrement de lui, laissant néanmoins le bout de mes doigts touchés ses épaules. C'est vrai que l'alcool y est bon. Mais les geisha et leurs corps le sont tout aussi, nan..? Je lui lançais un petit regard aguicheur avant de le regarder, me mordillant alors ma lèvre inférieure quand il me demanda de me déshabiller et de me mettre à genoux. Je fis lentement glisser mon obi pour le laisser tomber au sol, et laissais les pans de mon kimono tombés également alors que je me réinstallais. Puis-je? demandais-je tout en attrapant allègrement son verre. Je fis "accidentellement" un geste de maladresse, et le liquide que contenait le verre se renversa sur mon torse et sur mon entre jambe, me provoquant un frisson. L'alcool ne serait-il pas meilleur ici, sur moi..? soufflais-je tout en le provoquant du regard.

«Que les geisha le soient, c'est encore à prouver.. » Le regardant avec sévérité parce que je savais que ça l'excitait d'avantage, je farfouillais dans ma poche pour en sortir mon paquet de clope. L'agitant rapidement pour en faire sortir une, je l'allumais en observant d'un œil intéressé le petit manège de la geisha. Il s'était renversé de l'alcool sur lui et un petit rire étirant mes lèvres, je m'accroupissais devant lui en soufflant un nuage de fumée contre son visage tout en prenant une touffe de ses cheveux entre mes doigts. "L'alcool ne serait-il pas meilleur ici, sur moi..?"  Il prit une voix tellement aguichante qu'un grognement passa mes lèvres. Poussé par une envie de tirer ses cheveux, je m’exécutais en attendant de l'entendre gémir. Le sourire que j'arborais déjà prit un peu plus d'ampleur et continuant de consommer le stick de tabac entre mes doigts, je le poussais en arrière et me redressais. Pointant du doigt mon service trois pièce, je faisais craquer mon cou par habitude et regardais droit devant moi. «Fais donc un peu ton boulot.. Je te pais pas pour gaspiller du whisky mais pour me faire du bien alors suce et fais ça bien ! »Médisant et froid, je savais qu'au final tout ce petit manège allait payer dans quelques minutes..

Je pensais que j'allais un peu l'exciter en faisant couler l'alcool sur son corps, mais visiblement, ça ne l'énervait que davantage ou du moins, je n'arrivais pas à lui offrir l'envie que j'avais eu envie de lui donner. J'étais un peu déçu pour le coup mais je me disais que je me rattraperais plus tard, après tout. Et puis, il n'était qu'un client, je ne voyais même pas pourquoi je me tuais à la tâche pour le satisfaire d'autres manières ou de simplement jouer sur un autre terrain. C'était un client, certes un très très très bon client, mais il ne fallait pas mélanger les torchons et les serviettes, c'était ainsi. Un gémissement traversa mes lèvres lorsqu'il tira sur mes cheveux, et je fronçais légèrement les sourcils. Je me libérais de sa poigne non sans grogner légèrement. Très bien, monsieur. Vos désirs sont des ordres. Sans m'occuper de sa chemise ainsi que de sa veste, je glissais directement mes mains sur son pantalon. Je fis sauter le bouton à l'aide de mon pouce et ne tardais pas à faire glisser la braguette et le pantalon pour laisser apparaître son boxer. Mes lèvres se posèrent sur son membre, humidifiant alors son boxer à l'aide de ma langue et de mes lèvres humides avant de faire sortir le bout de son sexe pour le suçoter lentement, et doucement, m'amusant avec, sachant que ça allait l'énerver davantage.

"Très bien, monsieur. Vos désirs sont des ordres." Il s’exécuta sans plus de manière et continuant de tirer taf sur taf, je laissais tomber la cendre sur le sol sans vraiment m'en occuper avant de grimacer légèrement. Fermant les yeux, j'appréciais ce qu'il me faisait là comme à chaque fois. Il était plutôt doué avec sa bouche et il pouvait s'en rendre compte par lui même. Ma queue devenait de plus en plus dure entre ses lèvres. Quel talent ! Réprimant avec entêtement le plus de gémissement possible par fierté, j'écrasais enfin mon mégot par terre avant d'empoigner ses cheveux et le tirer vers moi. « .. ça suffit » Soufflant ces mots durement, j'empoignais ses cuisses et le soulevais pour aller rapidement le plaquer contre un mur en deux enjambées. C'était ça d'être grand , beau et d'avoir la classe ! Mes lèvres trouvèrent rapidement le chemin entre son cou et ses clavicules et faisant rouler ma langue contre sa peau, je n'hésitais pas à laisser vagabonder mes mains. Je connaissais assez bien les courbes de son corps et j'étais toujours impressionné de voir à quel point sa peau était douce. On aurait dit qu'il était fait en soie.. Mes doigts ne résistaient jamais bien longtemps à l'envie de glisser par ci par là jusqu'à trouver ces points sensibles. « … j'espère que tu n'es pas trop fatigué de ta journée parce que ça ne fait que commencer.» Soufflant contre son oreille, je l'attrapais soudainement entre mes dents alors que j'enfonçais sans ménagement l'un de mes doigts au fin fond de son petit cul. « .. apparemment tu t'es bien amusé aujourd'hui. » Ajoutant un deuxième doigt dans la foulée, je sentais bien que la préparation n'allait pas être longue. On reconnaissait bien là Samuel. Il aimait ça se faire baiser et ça se voyait.

Ma langue glissait sur le tissus de son boxer avec légèreté, et je prenais plaisir à suçoter ce tissus qui cachait l'objet de mes désirs. Objet qui d'ailleurs, commençait à se réveiller doucement, me prouvant encore à quel point je pouvais être doué avec ma bouche ou avec ma langue. Je suçotait ce petit bout de sexe qui dépassait de son boxer grâce à son érection, ma langue glissait contre la petite fente qui ferrait couler le fruit du pêché. J'aimais ça, c'était fou quand même. Sauf qu'il m'arrêta trop vite, à mon grand regret. Il avait tirer brutalement mes cheveux pour me rapprocher de lui tout en venant empoigner mes cuisses. En quelques secondes, je me retrouvais contre le mur, mes cuisses légèrement écartées et mes lèvres entrouvertes pour laisser s'échapper des soupirs lorsque sa langue trouva mon cou et mes clavicules. Ses mains vagabondaient sur mon corps et je remontais une de mes jambes le long de sa jambe, lentement avant de gémir doucement. Vous savez bien que je ne suis jamais fatigué pour vous.. Je gémissais à nouveau lorsqu'il vint mordre mon oreille et que je sentais un de ses doigts dans mon cul. Hmm.. C'était bon mais.. pas assez. Rah. Je soupirais doucement tout en laissant ma main venir se poser sur son sexe, mes doigts l'enserrant doucement pour commencer des vas-et-viens dessus, histoire qu'il soit bien dur pour rentrer en moi. Je ne m'amuse jamais aussi bien que quand c'est vous qui me prenez.. Je gémissais à nouveau lorsque ce fut un deuxième doigt qui rentrais en moi. Mais c'était toujours pas assez. Je continuais de le masturber, laissant mon pouce caresser son gland avant de descendre sur son membre et sur ses testicules pour les malaxer lentement.

Cette manie de toujours me vouvoyer était assez agaçante, c'était quelque chose que je n'aimais pas. Ça mettait de la distance entre ce qu'on s'apprêtait à faire et ça ne me stimulait pas des masses. Non moi ce qui me stimulais c'était le contact de mes mains sur sa peau douce. Enfonçant dans un grognement un doigt de plus au fond de son cul, je sentais et voyais qu'il était impatient de se faire prendre contre le mur. Sa main sur ma verge m'aidait beaucoup à donner raison à mon intuition. Il n'hésitais jamais à prendre les choses en main quand il sentait que ça traînait et pourtant je me trouvais rapide là. « .. t'inquiètes pas je vais pas traîner.» Tapotant sa fesse de ma main libre, je retirais rapidement mes doigts et empoignant mon sexe je le pénétrais sans plus de préparation. Mordillant alors sa peau juste sous son oreille, je prenais un profonde inspiration et donnait un coup de rein brusque puis un autre et ainsi de suite en veillant à ne pas accélérer trop vite. Redoublant d'effort en goûtant sa peau d'avantage, je reculais vivement mon visage dans un grognement en maintenant fermement son bassin pour lui donner ce dont on avait envie.  

Il y avait quelques clients où je n'arrivais pas à tutoyer, ou du moins au début. Lorsque l'acte n'était pas réellement commencé, je n'arrivais à tutoyer. Par contre.. Je savais que quand il aurait sa queue dans mon cul, j'y arriverais beaucoup plus facilement, ça viendrait tout seul, et je le préparais à ce qu'il vienne. Je faisais en sorte que sa queue soit bien dure et longue pour qu'elle puisse venir se loger en moi avec facilité. Et ce serait un euphémisme que de dire que j'en avais pas envie. Limite, je n'avais envie que de ça, de le sentir s'enfoncer dans mon petit cul loin d'être vierge, mon cul n'attendait que ça, sa présence imposante en moi. Et j'étais bien heureux de voir qu'il avait comprit que je m'impatientais, puisqu'il retira rapidement ses deux doigts pourtant bien au chaud en moi avant de me pénétrer avec cette brutalité qui me colla au mur. Ses coups de reins étaient brusque et je tentais de suivre la cadence en bougeant mes hanches à son rythme brusque et violent. Mes mains se calèrent dans son dos, et je m'agrippais à ses omoplates sous ses coups aussi brusques les uns que les autres. Vas-y plus fort .. un gémissement sortait de mes lèvres à chaque coup qu'il m'affligeait et je l'arrêtais un instant pour le repousser et m’empaler complètement sur son sexe, touchant directement ma prostate. Ca c'était ce que je voulais, putain.

"Vas-y plus fort .. " Il s'agrippait à moi et je le sentais remuer comme pour que je m'enfonce d'avantage en lui. La position qu'on avait ne nous permettait pas vraiment de faire ça facilement mais le connaissant, il était assez souple pour ça. Maintenant un peu plus fermement son bassin, il m'arrêta soudainement et avant que j'ai pu dire quoi que ce soit il manœuvra de telle sorte à ce que je sois délicieusement compressé par son petit cul en manque. Ce mec était un éternel insatisfait et ça ne me gênait en rien. Après tout, il fallait tenter à chaque fois de le combler et le jeu en valait bien la chandelle. J'étais épuisé après chacun de nos rapports et à juste titre. C'est que le petit Samuel était vorace ! « .. putain de.. » Serrant les dents alors qu'il se raidissait autour de moi, je soufflais d'un air crispé et reprenait là où on s'était arrêté. L'agrippant avec une nouvelle ardeur, je le malmenais sauvagement dans un petit sourire satisfait. Il pouvait s'époumoner, c'était ça ma récompense. Frappant ses fesses afin d'y imprimer la trace de mes phalanges, le bruit de nos corps qui claquaient l'un contre l'autre rivalisait merveilleusement avec ses gémissements de moins en moins espacés. Il prenait son pied comme je prenais le mien.

Je devais avouer que j'étais insatiable niveau sexe, et que à part Eden, rare étaient ceux qui me faisait grimper aux rideaux facilement en quelques coups de reins. Min Guk était bon, il n'y avait pas à dire, mais il me fallait toujours plus avec lui, qu'il y aille toujours plus fort pour toucher ma petite boule de nerf et autant dire que.. être contre un mur, ça n'aidait pas non plus, c'était certain. J'aurais préféré être à quatre pattes, ça aurait été plus simple. Et je m'empalais sur lui, pour lui montrer exactement ce dont j'avais besoin, ce que je voulais, mais je sentais que ça lui avait plus puisqu'il agrippa mes hanches avec cette ardeur que je lui connaissais et commença à malmener mon cul déjà bien chauffé. Nos peaux claquaient et ce bruit se mêlait à mes gémissements avec perfection. Cependant, la position commençait à me faire vraiment mal, et j'avais de plus en plus de mal à tenir correctement. Je le repoussais en lui faisant un sourire taquin avant de venir m'installer face à la table. Je posais un coude dessus, et me mit à quatre pattes, sous lui. Je tournais la tête pour lui adresser un de mes sourires aguicheurs tout en tendant les fesses pour que sa queue vienne s'y loger. Tu viens..?

Donnant encore de violents coups de reins, allant même jusqu'à gémir parfois, je sentais bien que cette position n'allait pas donner grand chose vu la façon dont se tortillait ma proie. Personnellement, je prenais mon pied et c'était le principal. Samuel me poussa pourtant après une dernière descente sur mon sexe imposant et clignant des yeux plusieurs fois en le voyant filer, j'étais à deux doigts de l'écraser à nouveau contre le mur .. mais ça c'était avant de le voir se pencher comme une petite pute vers le sol pour me présenter ses fesses. Il me souriait le salaud de son petit air aguicheur et prenant en main ma verge, je me masturbais lentement en m'approchant de lui pour lui mettre une fessée. «Tu sais vraiment pas te tenir tranquille toi .. » Frappant une nouvelle fois son cul tendu, je l'empoignais avec force et m'enfonçais en lui d'un coup sec. « .. mmh » Mordant ma lèvre dans un grognement, je n'attendais pas plus longtemps et lui donnais ce qu'il voulait allant de plus en plus loin en lui rapidement. Allant même jusqu'à me retirer pour essayer une inclinaison différente, l'entendre crier me fit sourire. «.. je crois que j'ai trouvé le bon endroit non ? » Sans aucune retenu, j'agrippais alors ses épaules et le martelais de coups de reins en serrant les dents pour ne pas donner de la voix moi aussi.

La position que j'avais pris, sur la table basse de la salle était beaucoup plus agréable. Mes mains étaient liées, mes coudes posés sur la table en bois, mon dos légèrement courbé pour que mes fesses galbées soient belles et bien visibles. Je n'attendais qu'une chose : que sa queue vienne s'enfoncer dans mon petit cul bien accueillant. J'étais décidément bel et bien une pute en chaleur, c'était limite affolant. Mon corps bougea légèrement lorsqu'il frappa mes fesses, et un gémissement sortit du creux de ma gorge. Wow. Nan, je ne sais pas.. Tu dois me punir pour ça..? je mordillais légèrement ma lèvre inférieur en le regardant, et un nouveau gémissement traversa mes lèvres lorsqu'il recommença une deuxième fois avant qu'il ne s'enfonce à nouveau en moi. Par-fait. Il se retirait de mon corps pour venir taper à nouveau, me faisant crier lorsque je le sentit taper dans ma prostate. Ouais, c'était là qu'il fallait qu'il aille, pile à cet endroit là. Qu'il vienne martyriser ma petite boule de nerf fragile, c'était tout ce que je voulais. Han oui.. gémis-je tout en m'appuyant sur un seul bras, posant mon front contre alors que ma main se dirigeait lentement vers mon sexe. Je l'agrippais avec force et commençais à me masturber avec vitesse pour me procurer encore plus de plaisir et de désir, mes doigts glissaient avec un mouvement rapide sur mon sexe, mon pouce passant de temps à autre mon pouce contre la fente de mon gland, gémissant toujours autant. Mon rythme se calquait au sien.

"Han oui.. " Ça c'était une preuve de plus que monsieur prenait son pied. La tête jetée en arrière, je frappais encore une fois ses fesses pour les empoigner, les relâcher et répétant le processus autant de fois qu'il me plaisait, je sentais que je n'allais pas tenir bien longtemps à ce rythme. « .. fuck » Il avait un cul tellement étroit et même avec le nombre impressionnant de passage qu'il y avait chaque jour, il n'en restait pas moins gourmand et vorace comme son maître. Grognant soudainement, je ralentissais dans un soupire en faisant glisser mes mains le long de sa colonne vertébrale. Je n'allais pas jouir avant lui. « .. putain ce que tu es vorace.. tu veux pas la lâcher ma queue hein ? ». Me retirant tout à fait pour voir son cul palpiter d'impatience en attendant mon retour, je m'enfonçais à nouveau pour prendre un rythme moins effréné mais plus ferme. Je le sentais se crisper à chaque passage et je sentais bien que je butais contre sa prostate. Attrapant alors ses bras, je le tirais vers moi sans le ménager pour qu'il me sente pendant un bon petit moment. Il allait jouir sans l'aide de sa main.. «.. aller crie.. je sais que t'en as envie.. » Donnant de puissant coup de rein pour appuyer mes dires, je recommençais déjà à accélérer, incapable de rester ferme sur mes décisions.

Je gémissais, encore et encore à chacun de ses coups sur mes fesses, je prenais véritablement mon pied là. Je n'avais que rarement eu l'occasion de prendre mon pied par le biais de la fessée, mais là, si c'était le cas. Je prenais mon pied. Je continuais de bouger mes fesses pour rencontre son bassin pour pouvoir sentir sa queue buter contre ma prostate fragile. Nan, j'ai pas.. envie.. elle est très bien installée.. là où elle est.. c'est à dire, dans mes fesses qui ne voulaient que son pénis bien fait. Je tremblais légèrement lorsque je le sentis se retirer, et une plainte de frustration sortit de mes lèvres. Pourquoi il s'arrêtait là? il voulait mater mon cul ou il voulait me prendre mon cul bordel? mais je n'eus pas le temps de me prendre que je sentis à nouveau sa queue s'enfoncée en moi, et un gémissement de bonheur se retira de mes lèvres. Mes chaires se contractaient à chacun de ses vas-et-viens alors que ma main faisait toujours des merveilles sur mon pénis. La combinaison de sa queue en moi et de ma main sur ma queue, ça allait parfaitement. Seulement, il attrapa mes bras, et je retrouvais mon dos collé à son torse. Il voulait me faire jouir avant lui, l'enculé. A ses puissants coups de reins, ma voix partit dans les aigus, et mes gémissements ressemblaient de plus en plus à des cris, des cris de plaisir. Je me sentais partir, et pour mieux le sentir en moi, j'écartais un peu plus les cuisses. J'avais envie de me toucher pour pouvoir jouir, pour pouvoir enfin jouir bordel. Quitte à jouir deux fois, j'avais envie de jouir. Et comme si mon corps avait bien compris le message, je rouvris les yeux pour voir de petits jets blancs s'évader de mon pénis alors que je gémissais encore et encore, mes chaires se contractant sur sa queue. Han.. une plainte de plaisir, c'était tellement bon. Mais j'en avais encore envie, je voulais encore sentir ses hanches tapées contre mes fesses, j'en avais pas eu assez, je voulais encore de sa violence.

Le sentant d'avantage crispé contre ma queue, je savais qu'il avait jouit. Un sourire moqueur étira alors le coin de mes lèvres. J'avais comme à chaque fois réussi à le faire jouir avant moi et stoppant tout mouvement, je me penchais vers lui pour jouer avec le lobe de son oreille sans me retirer. « .. c'est bon mmh ? » Taquin, je claquais ses fesses et me retirant lentement non sans mordre ma lèvre pour me contenir, d'une main ferme je le forçais à se retourner. Profitant du fait qu'il était encore ailleurs, je l'enjambais et venais frotter de bout de ma queue contre ses lèvres en retenant un frisson. Moi non plus je n'allais pas tarder à venir mais c'était dans sa bouche que tout allait se faire. «.. fais ahh » Pressant mes mains contre ses joues, j'attendais qu'il ouvre la bouche pour m'y glisser et commençant tout de suite à remuer, m’engouffrant avec brutalité je jetais ma tête en arrière dans un râle de plaisir alors que j'atteignais l'orgasme après quelques minutes seulement. Restant un moment immobile, je sentais sa gorge tressauté et ne tenant plus je me laissais tomber en arrière dans un ouf. «.. putain de merde ! » Un rire passa alors mes lèvres et attrapant son sexe, je le masturbais par pur amusement. «Rien qu'à te regarder je sais que tu la veux encore , j'ai pas raison ? » Mon sperme coulait de ses lèvres, ses joues étaient rouges .. ses yeux brillants. Il avait naturellement un air de débauché qui criait au viol et comme je commençais à bien le connaître je savais à quoi il pensait.. Jouant pourtant avec son gland quelques minutes, je relâchais le tout et allait me chercher une clope. Entre mes lèvres, je prenais une profonde inspiration et m'asseyant juste en face de lui, je soufflais lentement vers son visage dans un sourire tout en prenant mon propre sexe en main. « .. le deuxième round c'est sur mes genoux que ça se passe. » Désignant alors ma queue, je tapotais ma cuisse en l'invitant du regard.

Mon corps convulsait légèrement, prit de spasmes de plaisir alors que le fruit de mon plaisir s'écoulait lentement, venant tâcher la table ainsi que mon torse nu. C'était pire que bon, et je n'en revenais pas que ce le soit autant. Mais je ne pus profiter des quelques instants de pur bonheur grâce à mon orgasme que je me fis retourner et que je me retrouvais avec la queue de mon client en face de mon visage. Je sentais sa queue contre mes lèvres et je ne pouvais m'empêcher d'y glisser ma langue tout en relevant mes yeux vers lui. A ses mots, j'ouvrais la bouche, docilement avant de couiner en sentant direct sa queue entre mes lèvres. Je laissais ma langue se glisser sur son membre alors qu'il faisait les mouvements de lui même, me faisant froncer les sourcils à chaque fois que sa queue venait taper le fond de ma gorge. J'eus à peine le temps de profiter de sa présence dans ma bouche que je reçus son liquide amer entre mes lèvres. J'avalais doucement, me retenant pour ne pas froncer mes sourcils face au goût amer, et je le regardais tomber en arrière alors que je passais mon pouce tremblant contre ma lèvre pour récupérer un peu du liquide qui s'était accumulé entre mes lèvres. Les jambes écartées, je le regardais doucement avant de gémir en sentant ses doigts sur mon sexe pour me masturber. Je tremblais d'excitation. T'as raison.. évidemment.. je puais la luxure et le sexe à plein nez, c'était désagréable mais bon. Je passais une main dans mes cheveux, et fermais difficilement les yeux tout en sentant ses doigts sur mon gland. Il me titillait trop là. Seulement, je soupirais en le sentant partir pour prendre une clope. Il s'installa face à moi, et je me penchais pour venir attraper sa clope et tirer une légère taffe pour retirer un peu le goût âpre et amer qui était dans ma bouche. Un sourire malsain se dessina sur mes lèvres et je me rapprochais de lui, mes genoux de part et d'autre de son bassin, je glissais mes doigts sur son sexe pou rle masturber un peu, histoire qu'il soit bien droit et bien dur pour rentrer en moi. Une fois que je jugeais la bête assez bien préparée, je fis frotter son gland contre mon intimité, ondulant mes hanches pour que son sexe se retrouve bien entre mes fesses, et d'un coup sec, je m'empalais sur son sexe dans un gémissement. Les mains posées sur ses cuisses, je montais et descendais lentement sur son sexe, mes hanches ondulant avec grâce.

Il ne fallut pas longtemps à Samuel avant qu'il ne vienne en rampant vers moi. Qu'est ce que je disais ? Il n'était pas difficile à cerner.. L'examinant avec attention, sa façon de faire m'étonnait presque à chaque fois. Comment pouvait-on être d'un naturel aussi sensuel ? Ça, ça ne s’apprenait pas dans les livres. C'était un don à la naissance et apparemment, il avait eu pas mal de chance. M'enjambant avec grâce, il vola ma cigarette pour tirer une taf et la lui reprenant rapidement dans un sourire, je la plaçais entre mes lèvres mes mains déjà sur ses fesses. Sa peau était toujours douce et carrément irrésistible.. «.. t'es qu'une petite pute vorace.. »Murmurant ces mots aussi simplement contre sa peau, je faisais rouler ma langue au creux de son cou, le mordillant par moment. Lui se contentait de me masturber, impatient que je sois prêt de nouveau à le pénétrer. Je sentais son petit cul palpiter contre ma cuisse. Lui claquant alors le derrière dans un petit rire, je scrutais ses moindres mouvements alors qu'il se préparait à m’accueillir à nouveau et dans un soupire étouffé, je donnais un coup de bassin. « .. fuck » Il commença tout de suite à remuer et agrippant d'une main ferme son bassin, je l'aidais dans sa tâche. Mes coups de reins étaient saccadés mais toujours aussi marqués. Il me faisait toujours me donner à 100%. C'était ma récompense pour avoir le droit de le baiser assez souvent.

C'est mon métier, j'y peux rien.. soufflais-je en répondant à sa remarque comme quoi j'étais qu'une petite pute vorace. C'était vrai, et je ne le niais pas. A quoi bon nier l'évidence? Je le savais que j'étais insatiable, je n'allais pas faire comme si c'était faux lorsque cela puait l'évidence même. J'étais une geisha avant tout, mais j'étais surtout une pute qui aimait le sexe. J'aimais cette sensation d'être rempli quand on me prenait. Bon, ce n'était pas une généralité car il y avait très rarement d'aussi bons clients comme Min Guk, mais j'aimais le bon sexe. Le sexe comme avec Eden ou Min Guk, j'en raffolais complètement. Une petite plainte de plaisir sortit notamment de mes lèvres lorsqu'il claqua mes fesses déjà rougies par ses autres claques, et avant même que je n'ai eu le temps m'empaler sur son sexe, il le fit de lui même d'un coup de bassin qui me fit gémir. Je bougeais directement mes hanches, montant et descendant, ondulant des hanches pour plus de sensations. Ses coups étaient bruts et violents, mais j'aimais ça. C'était bon.  Je gardais une main posé sur ses cuisses pour m'aider à monter et descendre, et glissais une de mes mains sur mon propre torse pour venir torturer un de mes tétons. J'écartais un peu plus les cuisses pour qu'il ai cette impression de profondeur lorsqu'il s'enfonçait en moi avant de me pencher pour venir mordre son oreille. Ma langue traça un chemin langoureux du lobe de son oreille jusqu'à une de ses clavicules tout en retraçant correctement les lignes de son cou. Je léchais sa peau, la suçotais doucement sans faire de marques, et mordillais sa peau comme un chien qui mordillerait son os, tout ce qu'il y a de plus normal.